(lisez
l’article sur le voyage vers Kananga, ci joint)
Nous sommes
arrivés à Kananga le 24 au matin et avons été reçus à l’aéroport par le staff
de l’archevêché. Celui-ci s’est occupé de toutes nos formalités aéroportuaires
et nous a conduits chez Mgr qui nous a gardé à diner et invité pour le lendemain
25 mars aux premiers vœux des premières bénédictines de Malandji (nos consoeurs voisines du bas de la colline).
Belle coïncidence ; il doit y avoir un peu du Saint-Esprit là-dedans.
Kananga m’a
séduit tout de suite par son ambiance aérée de village vert et arborisé
tellement différente de la poussière polluée de Kin ou du chaudron étouffant de
Boma. Nous sommes sur un plateau ventilé et l’œil est sans cesse reposé par un
arbre cossu inconnu ou un palmier frétillant. Je pense que je vais me plaire
ici.
25 mars.
Nous sommes partis pour la messe
des vœux dans la voiture de l’archevêque. Avons vécu une belle marche
d’approche de notre domaine, la ville, la banlieue et ses petites cases, le
pont sur la Lulua, le carrefour vers la colline, la piste ocre, le clocher dans
les arbres, notre maison, notre église puis la descente au monastère des sœurs…
Au retour
après le repas officiel, Mgr Madila nous fait visiter chez nous et nous
explique les travaux faits (beaucoup) et à faire (beaucoup). Nous sommes de
plus en plus enthousiastes à aller habiter sur la colline le plus vite
possible…
Bien heureux de voir que l'enthousiasme est bien là et que l'endroit te plait, bonnes salutations !
RépondreSupprimerJe suis heureux pour vous et si j'ose avec le Saint Esprit
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